14 Juin 2019
La banque s’est désistée, ce vendredi 7 juin, de son action en diffamation contre Jean-Luc Mélenchon, initiée en 2016 après de vives critiques du leader de la France insoumise contre la banque au moment de la révélation des Panama Papers.
En avril 2016, Jean-Luc Mélenchon, leader de La France insoumise, avait affirmé sur France Info que les dirigeants du groupe bancaire Société générale étaient des « menteurs » qui devaient « être châtiés », au moment des révélations d’évasion fiscale des Panama Papers. Des propos qui lui avaient valu une action en diffamation de la part de la banque.
À l’audience, devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, l’avocat de la banque, ce vendredi 7 juin, a annoncé son désistement, éteignant de fait l’action contre Jean-Luc Mélenchon.
979 sociétés offshore
La Société Générale faisait partie des banques mentionnées dans l’affaire Panama Papers pour avoir ouvert pour le compte de clients 979 sociétés offshore, en faisant appel au cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca en une quarantaine d’années.
La banque française s’était défendue en affirmant que quelques dizaines de ces sociétés seulement étaient encore en activité et qu’elles étaient gérées de façon « totalement transparente ».
Par AFP (publié le 07/06/2019)
A lire sur le site Ouest France
En avril 2016, Jean-Luc Mélenchon, leader de La France insoumise, avait affirmé sur France Info que les dirigeants du groupe bancaire Société générale étaient des « menteurs » qui devaient « être châtiés », au moment des révélations d’évasion fiscale des Panama Papers. Des propos qui lui avaient valu une action en diffamation de la part de la banque.
À l’audience, devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, l’avocat de la banque, ce vendredi 7 juin, a annoncé son désistement, éteignant de fait l’action contre Jean-Luc Mélenchon.
979 sociétés offshore
La Société Générale faisait partie des banques mentionnées dans l’affaire Panama Papers pour avoir ouvert pour le compte de clients 979 sociétés offshore, en faisant appel au cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca en une quarantaine d’années.
La banque française s’était défendue en affirmant que quelques dizaines de ces sociétés seulement étaient encore en activité et qu’elles étaient gérées de façon « totalement transparente ».
Par AFP (publié le 07/06/2019)
A lire sur le site Ouest France